Avec l’hiver, l’activité en extérieur ou au froid se réduit ! Je voulais une technique pas (trop) salissante à pratiquer en intérieur. Pas de poussière, peu de déchets, le papier mâché permet de recycler les vieux canards que j’empile au cours des semaines. Je n’irai pas jusqu’à dire que c’est écologique, mais au moins c’est du réemploi jusqu’au bout.
J’ai trouvé une recette là chez Jonni Good qui semble être la référence outre-atlantique.
J’ai préparé une bonne quantité de papier mâché mais le résultat ne me paraît pas convaincant pour l’instant. Mon mélange est resté trop imprégné d’eau, d’où une difficulté á le faire tenir sur des structures verticales ! Je n’arrive pas à travailler avec des gants et j’ai donc les doigts pleins d’encre d’imprimerie. Beurk !
Sur des structures (trop) légères et (mal) arrimées à une base cartonnée, j’ai commencé à monter ma pâte pour ébaucher mes sculptures.
Premier constat : ma pâte est trop humide et donc trop lourde pour tenir correctement. Même un coup de sèche-cheveux n’améliore pas la situation. Demain, je passerai un coup de décapeur thermique pour accélérer le séchage et tenter de rattraper le coup.
Deuxième constat : je me suis planté sur la texture de la pâte, il y a des grumeaux et de gros morceaux de papier. De ce fait, des fissures apparaissent dès la pose. Les différents bouts de pâte ne se solidarisent pas entre eux. Après séchage, la rétractation risque de laisser des morceaux de structure à nu. Ça peut se rattraper en rajoutant une couche de pâte fine aux endroits menacés.
Pour résumer, je dois atteindre les objectifs suivants (listés par ordre d’importance)
Rédigé avec un IPad.