Le Lièvre et la Tortue, fable archi connue et qui me permet d’illustrer un petit travail sur un morceau d’érable. Commencé à l’automne 2019, ce morceau a été très tôt écorcé et séché. Puis il est resté en jachère le temps que l’idée vienne. La préoccupation est de gérer la fissure longitudinale de la bouche (1ère photo). Une fois la fissure positionnée en dos de sujet, il devient possible de développer une sculpture avec des traversées.
Faute d’imagination : Les travaux sont nommés Abstraction suivi d’un numéro qui est celui de la première photo correcte prise du travail. Eventuellement un nom complémentaire pourrait apparaître.
Deux phases de travail : Décembre, dessin et dégrossissage Avril à juin, affinage du sujet, ponçage et polissage suivi d’un cirage.
Le ponçage est à reprendre sur certaines parties difficilement accessibles. Cela sera fait quand j’aurai reçu certains outils fins de ponçage… Ensuite je repasserai dans une phase de polissage
Pour voir en plein écran, cliquez sur une des vignettes.
Profitant de la période de détention qui nous a été imposée, je me suis défoulé sur un bloc de stéatite. Vous trouverez ci-dessous la galerie de photos montrant comment le travail s’est déroulé pour aboutir à un résultat achevé….
Dorénavant mes travaux porteront un nom et un numéro (celui de la première photo)
Vous pouvez cliquer sur chaque photo pour en profiter en plein écran
Le pas à pas du sujetAbstraction 1230 – Résultat final
Petite remise en route après des mois d’interruption de l’édition de posts. Je reviens sur un truc commencé en 2018 et qui devrait – peut-être – être terminé cette année 2020.
En partant d’un dessin simple, construction d’une forme en carton et pose de mat de verre enduit d’une résine colorée sur le fond et les parois
L’intérieur après séchage est brut de fonderie = crade
Après démoulage, on a une face quasi plane mais avec plein de défauts.
Il faut faire l’autre face. Et là petit souci lié à une absence d’anticipation. je ne peux pas faire l’autre face avec la même technique que la première.
Donc ma solution consiste à remplir la forme avec du polyuréthane puis à le recouvrir avec le stratifié.
La première face porte des traces de coulure est morceaux du moule (défaut d’isolation du support)
Polyuréthane en place. C’est tout sauf régulier.
Petit rasage au cutter et basta.
Après pose du mat de verre sur le polyuréthane, j’ai une forme complète qui ne me satisfait pas, pour cause d’aspect irrégulier.
On est en juillet 2018
Verdict 2 ans de mise à l’écart.
Dans un prochain article, je vous montrerai le travail de 2020.
En ce moment, le bois me parle. D’où une frénésie de taille, de ponçage et d’autres tâches qui envoient de la poussière partout. Il m’arrive de porter un bon masque pour protéger mes poumons mais certaines fois j’en ai quand même plein le … …nez.
Avec des voisins sympas, je récupère facilement du bois. Sauf que j’ai encore oublié ce que c’était que cette buche. C’est léger, clair et assez fragile. Le bois marque facilement quand il est coincé dans des serre-joints . Plus lourd que le balsa mais assez facile à travailler, quand on le travaille en respectant le fil du bois./
Petit pas à pas
En quelques images cliquables voila l’évolution de la chose.
Vue de dos
Vue de face
Profil
Détail face
Note à benêts : Je ne sais toujours pas dessiner… Donc je ne ferai jamais du figuratif. Je connais mes limites.
C’est terminé : Décollage 01
Après ponçage (beurk ! ), deux couches de cire incolore et un peu de frottage pour faire briller, j’arrive à quelque chose qui me convient. Un petit socle métallique pour éviter que cette sculpture valdingue au premier coup de vent et le tour est joué.
Quand on se remet à l’ouvrage après des lustres d’interruption, on n’est jamais certain de savoir encore maîtriser sa force. Ergo, au lieu de tout casser avec un malheureux coup de massette au bon endroit, j’ai choisi de faire ce sujet en stéatite verte uniquement avec des râpes et des rifloirs.
Êtat initial
Êtat initial
Êtat initial
Êtat initial
Êtat initial
Des traits et…
…des courbes
L’idée de départ était de faire passer deux serpents entre des blocs géométriques sur une base brute..
Le serpent du haut
Le serpent du haut
Le serpent du haut
C’était une idée à la con. Je ne sais pas dessiner de façon réaliste. un jour, j’apprendrai 😉 En attendant on va replonger dans les abstractions. Exit le serpent du haut et reformatage du serpent du bas.
Êtat final – 3/4 avant
Êtat final – vue principale
Êtat final – face gauche
Êtat final – face gauche
Êtat final – face droite
Êtat final – face drote
…des reflets, vus de dessus
De l'art de s'abimer les doigts en créant des trucs que vous pouvez ne pas aimer.