Dans une autre vie, j’entendais mes collègues dire que la réussite imposait de “taper dans le dur” .
Hmmph !!!
Je peux vous dire que même en croyant taper avec douceur, et en suivant toutes les règles de l’art,
. vers l’extérieur
. par petits coups
. avec une massette légère (500 gr.)
. etc
il suffit du geste qui va bien pour anéantir en une seule fois les heures de travail qui précèdent.
Le résultat est probant.
Il va falloir bruler du neurone pour tirer quelque chose du morceau de droite. Quant à celui de gauche, a priori, c’est mort.
On va se calmer…. et attaquer un autre projet.
Ce n’est que le premier d’une série alors je vais rester zen.
Je m’en tiens là pour ce 30×10. La vue face avant
Les plans et les creux ont été poncés successivement du 240 au 1200.
Résultat intéressant et après polissage on obtient un brillant qui devient sympa.
Néanmoins il reste des traces qui ne me plaisent pas. Prochaine action sur les suivants : poncer à partir de 80 puis 120 avant d’attaquer la séquence 240 > 1200.
les traces de minéraux renforcent les graphismes possibles.
Le côté moins (sujets à creuser)
la qualité finale des fonds des creux (no joke)
les rayures résiduelles sur certaines surfaces me laissent penser que ma méthode de ponçage n’est pas parfaite. Je suis passé par tous les grains 240 > 400 > 600 > 800 > 1000 !! Et il reste encore des traces.
le manque de netteté de certaines entailles. (Là je me dis que c’est encore la méconnaissance des outils qui me joue des tours.)
En l’état actuel du travail, il ne reste plus que deux points à régler
la position : verticale ou horizontale. Horizontale, le truc tient bien en équilibre (40 cm) d’appui). Verticale, l’appui est bon mais il suffit de n’importe quelle poussée pour le déséquilibrer. Dans ce cas se pose aussi la question d’une fixation ou d’un soclage pour maintenir la position.
le nom : je ne suis pas inspiré.
Je suis à l’écoute de toutes les suggestions.
[EDIT] Version épurée des magnifiques fautes d’orthographe et de français de la version précédente. Merci JMP pour l’oeil perçant.
Je croyais avoir bien protégé la face déjà super-polie. Mais j’ai eu la main lourde avec les meules et je vais au devant de belles séances de polissage pour rattraper les magnifiques rayures transversales.
Note à benêt (NDLR : à moi-même) Etre généreux sur la fixation des caches pour gagner du temps ultérieurement.
A suivre.
(NDLR : Le sujet, l’objet, on s’y perd )
De l'art de s'abimer les doigts en créant des trucs que vous pouvez ne pas aimer.